Introduire au Bénin, des notions d’homosexualité – dans le guide pédagogique de SVT de la classe de 5eme, à sa page no. 5; classe des préadolescents psychologiquement fragiles est non seulement intolérable mais constitue également un grand danger socioculturel pour un pays qui n’a pas ces pratiques dans sa culture.

Cet abâtardissent de l’éducation mérite d’être dénoncé au nom de la morale africaine ancestrale. Même si l’argent avait circulé pour faire introduire cette notion d’homosexualité dans nos curricula, – c’est le moment de saluer le SG Thierry DOVONOU- cela ne devrait engager que ces éducateurs qui n’ont aucune épaisseur historique et intellectuelle.
L’enseignement est malmené et il est en danger. Tout est à l’envers et il faut l’avouer.
Des grands académiciens en parlaient depuis fort longtemps. Ils dénoncent les fossoyeurs de ce grand naufrage éducatif. Dans un livre intitulé, «La fabrique du crétin: la mort programmée de l’école», l’essayiste français Jean-Paul Brighelli critique et fustige sévèrement le système éducatif en plein déclin au cours de ces dernières décennies. Claire Laux et Isabel Weiss auteures de « Ignare Academy concluent avec beaucoup de bon sens que « tant que les finalités de l’éducation ne seront pas clairement repensées, les racines de cette exceptionnelle dégradation resteront vivaces ».
Voilà qui est désormais clair pour les pédagogues qui doivent impérativement rejeter la mort programmée de notre système éducatif par ces cultures importées. « To o do gbi gbà wè ». Le Cardinal Gantin avait raison.
Autrement, supprimez ce programme.
Ad vitam æternam.
Romuald Boko,
L’Autre Afrique