COVID-19 : UNE MANIPULATION A DESSEIN DES CHIFFRES SELON MONSEIGNEUR PASCAL N’KOUÉ, UN CLIN D’ŒIL AUX POLICIERS BÉNINOIS.
« Revenons sur la crise sanitaire de la Covid-19. Ce fléau nous a pris au dépourvu. » C’est le début du point numéro 6 de son développement dans la vie diocésaine du mois d’avril 2022 avec pour thème Bienfaits de la COVID-19. Comme bon nombre de savants citoyens à travers le monde, l’évêque du diocèse de Parakou croit à un tripatouillage des chiffres sur le décompte des morts pendant la scène internationale du théâtre coronavirus: « Les chiffres sur le décompte des morts ont été manipulés à dessein. Nous étions informés continuellement avec un cynisme bien calculé. » a-t-il souligné. Et notre foi aux institutions médicales occidentales nous faisait croire bêtement à ces chiffres de façon « aveugle« , pense Pascal N’KOUÉ. Loin de se réjouir sur l’effondrement du « mythe du Nord invincible et sauveteur inégalable (…) au moins sur le Coronavirus« , il précise et rappelle que le virus n’a pas totalement disparu dans les pays du Nord. Bien au contraire, il « a continué de circuler librement, en narguant même les professionnels de la santé. Malheureusement plusieurs parmi eux ont péri, malgré toutes les précautions prises. ! »
Le Bénin, avec son don du profit des situations faciles n’a pas été oublié par son excellence. Il indexe ces policiers qui n’ont ménagé aucun effort pour exagérer dans leur mission : « Quant au Bénin, les policiers ont été sollicités comme force de dissuasion pour molester et même mater carrément les récalcitrants dans certains lieux de culte. Je n’exagère pas. On n’avait pas le droit d’oublier de porter son masque. Mais n’en voulons à personne. »
Même si des précautions ont été prises de mille manières, le virus a quand même récidivé et n’a rien fait d’autre que de s’installer « comme le VIH/Sida et le virus de la fièvre de Lassa. Désormais c’est une maladie endémique. Car un virus ne respire pas, ne mange pas, et donc ne meurt pas ; il mute et frappe les plus fragiles à certaines périodes. La preuve c’est que les variants et les sous-variants continuent d’inquiéter. »
Inquiéter ? Oui! Mais la solution, il nous la propose. Pour lui, il serait plus urgent de revenir à la santé naturelle, tant au niveau de l’alimentation qu’à celui des remèdes faisant donc allusion à la médecine chinoise qui se repose sur trois piliers de la santé : la diététique (nutrition), la pharmacopée (plantes médicinale) et la maîtrise de nos émotions (sérénité mentales).