De son vrai nom Tia Gueu Rock, le jeune entrepreneur ivoirien, est plus connu sur le pseudonyme, Stéphane Sucré sur les réseaux sociaux, notamment facebook, où il faire parler de lui à travers la publication de plusieurs idées business au profit de sa communauté.

Par Edmond Sossou

À la tête d’une équipe dynamique, Stéphane est le promoteur de plusieurs entreprises stables et prometteuses. Il investit surtout dans l’agriculture et les services.

Ranch Ivoire, Ridissi, Coolendroit, Restaurant l’ambassadeur, la production de l’escargot et bien d’autres investissements sont à l’actif de celui qu’on peut surnommé, le futur roi de l’Agro business en Afrique de l’ouest.

La boîte à idée ivoirienne, loin de l’influence négative qu’on peut parfois observer sur les réseaux sociaux, fait dans le concret.

Il n’existe d’ailleurs pas, à partager sur son compte facebook, ses déplacements et ses activités à travers la Côte d’Ivoire et dans ses multiples entreprises.

Ses oeuvres et son réalisme, lui ont permis de gagner plusieurs distinctions dans le domaines de l’entrepreneuriat dans son pays.

L’homme, invite surtout les jeunes ivoiriens et africains, à sortir de leur zone de confort et à croire à l’entrepreneuriat.

Selon lui, dépendre uniquement de son salaire de nos jours avec, la situation économique mondiale serait suicidaire.

Pour le promoteur de moovagri, travailler sur son intelligence pour mettre en place une seconde source de revenu est nécessaire. Et, cela est possible avec l’entrepreneuriat, surtout agricole.

Le marché existe et la demande aussi, alors les jeunes doivent apprendre à se faire confiance et à se mettre ensemble pour investir et créer des entreprises solides, a confié récemment le chantre du business juteux à un média en ligne.

Son riz, Ridissi, produit en Côte d’Ivoire par la mains d’œuvre locale, est d’une qualité irréprochable et défi tous les prix de riz importer sur le marché. Le 05 kg est vendu à 3.000fcfa et celui de 25kg coûte 15.000 fcfa.

La location de véhicules, les appartements meublés pour l’hébergement, la restauration et bien d’autres secteurs ne sont plus un secret pour le poids lourd du riz local au pays des éléphants.